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Le coronavirus a été créé par deux inspecteurs des impôts à la retraite qui, alors qu’ils venaient d’entamer une liaison secrète, faisaient croire à leur épouse respective qu’ils aimaient à se retrouver pour jouer avec un kit Chimie 2000 acheté sur le Bon Coin ; du mélange accidentel de leur semence et d’un composé non-identifié serait née cette chose diabolique appelée corona, capable, soit disant, de révéler les failles profondes de notre société ; en particulier, murmure-t-on discrètement dans les champs et sur les autoroutes désertes de France et de Navarre, une certaine indifférence à la souffrance des grenouilles en milieu forestier.


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Le coronavirus a été créé par un laboratoire de Maroilles qui travaillait sur un prototype de fromage sans odeur à destination des criminels en fuite souhaitant savourer un burger ch’ti sans attirer l’attention des forces de police ; ce fromage, à défaut d’odeur, était censé déclencher les symptômes d’un léger rhume, rappelant ainsi la vie dans le nord ; mais il semblerait que les ingénieurs fromagers aient été dépassés par leur invention AAAAAAAATCHOUM ; comme quoi les meilleures intentions peuvent avoir les pires conséquences. Bon appétit !


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Le Coronavirus a été créé par une bande de jeunes jouant au « possum », un jeu consistant à rester saoul le plus longtemps possible en étant suspendu à une branche comme un opossum ; de nombreuses villes se retrouvent régulièrement souillées par les joueurs qui passent la nuit à uriner et vomir du haut des arbres ; le vomi se retrouve l’espace d’un instant en chute libre et - sans vouloir minimiser les souffrances psychologiques infligées à la police des parcs et jardins qui retrouve au petit matin son bureau recouvert de gerbe comme une œuvre de Christo - c’est sans doute là le plus grave : le vomi en chute libre ayant tendance, pour des raisons mal connues, à donner naissance à des cellules mutantes devenant incontrôlables et dont la plus connue à ce jour est le coronavirus, nom qui signifie en latin : « encore une chute de vomi tu verras ». On connaît la suite.


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Le Coronavirus a été découvert par une rumpologue de Los Angeles du nom de Bridget Scarpa, la rumpologie étant cet art trop méconnu consistant à lire l’avenir dans les fesses et appelée parfois en anglais « butt reading » ; au cours d’une séance dans son cabinet de Sunset boulevard, Bridget Scarpa aurait découvert au fond d’un cul, non seulement les fragments d’un futur inexploré, mais aussi les bribes d’une cellule endormie qui, réveillée en sursaut par la rumpologue alors qu’elle dormait là depuis dix siècles, aurait décider de régler son compte à toute l’espèce humaine, arguant que celle-ci n’était, je cite, « qu’une ombre en forme d’omelette ». Bon appétit. PS : difficile d’évoquer la rumpologie sans mentionner l’une de ses figures de proue : Jacqueline Stallone, connue aussi et surtout pour être la mère de Rambo et qui présente son travail de « voyante du fessier » en ces termes : « C’est l’art de lire les rides, les creux, les fossettes et les plis des fesses. On y devine le caractère de l’individu et on acquiert une compréhension de ce qui s’est produit dans le passé et on peut prédire l’avenir. » http://www.jacquelinestallone.com/rumps.html


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La Belle au bois dormant dort avec son masque en tissus. Le roi Stéphane : « Personne va l’embrasser avec ce truc. » Maléfique : « Je te l’avais dit, l’amour sincère n’existe pas. » Et c’est là que trois énormes virus à couronne, trois énormes spécimens de coronavirus mais vraiment énormes, avec leur couronne et tout, mais vraiment vraiment énormes, à taille humaine, et vêtus de cuir, vraiment très très énormes avec leur couronne et tout et la bite à l’air genre comédiens parisiens progressistes diabétiques militants écolos ayant abusé du croque-monsieur et vêtus de cuir, entrent dans la pièce, voient la Belle au bois dormant qui dort et demandent : « C’est ici le gang-bang ? »